STATUT DE L'ORDRE DE SAINT LAZARE AU PLAN INTERNATIONAL ET NATIONAL
AU PLAN INTERNATIONAL
Bien que l'Ordre Militaire et Hospitalier de Saint Lazare de Jérusalem ne soit pas un Ordre dit souverain ou de droit pontifical, il est aujourd'hui reconnu officiellement sous le vocable d'Ordre par un certain nombre d’États : la Bolivie en 1950, le Canada depuis 1963, l’Autriche depuis 1977 (avec en sus un statut de droit canonique), la Croatie depuis 1992, la Hongrie depuis 1993.
Pour la France voir ci-dessous.
Bien que l'Ordre Militaire et Hospitalier de Saint Lazare de Jérusalem ne soit pas un Ordre dit souverain ou de droit pontifical, il est aujourd'hui reconnu officiellement sous le vocable d'Ordre par un certain nombre d’États : la Bolivie en 1950, le Canada depuis 1963, l’Autriche depuis 1977 (avec en sus un statut de droit canonique), la Croatie depuis 1992, la Hongrie depuis 1993.
Pour la France voir ci-dessous.
D'autres États reconnaissent officiellement l'organisation Saint-Lazare mais pas l'Ordre en tant que tel. Il s'agit de l'Afrique du sud, de l'Espagne, du Luxembourg, de la Russie, de la Suède et de l'Union Européenne.
EN FRANCE :
Association Loi 1901 et accord particulier avec la Grande Chancellerie de la Légion d'Honneur
L’Ordre Militaire et Hospitalier de Saint Lazare de Jérusalem, représenté par son Grand Maître, le Prince Charles-Philippe d'Orléans, Duc d'Anjou, a obtenu, après
négociations, un accord historique et capital avec la Grande Chancellerie de la Légion d'honneur, seule responsable du règlement des distinctions en France. Cette convention remplace les
conditions qui furent acceptées par les anciens Grands Maîtres de l’Ordre de Saint Lazare.
Pendant de nombreuses années, le Grand Maître, les officiers et les membres devaient utiliser exclusivement l’appellation « Hospitaliers de Saint Lazare » sur le territoire français ; un titre honorable mais peu conforme à l’usage historique et à la dénomination utilisée dans tous les autres pays où l'Ordre est représenté.
Avec effet au 28 septembre 2007 et sous des conditions qui empêchent qu’il ne puisse y avoir aucune confusion possible avec les Ordres dépendant de la Grande Chancellerie de la Légion d'honneur, l’Ordre de Saint Lazare s’appelle dorénavant, en France comme dans le reste du monde « Ordre Militaire et Hospitalier de Saint Lazare de Jérusalem ». Le Prince Charles-Philippe d'Orléans, Duc d'Anjou, pourra utiliser le titre de sa fonction sous sa forme légitime et traditionnelle de Magnus Magister.
Le Gouvernement français reconnaît exclusivement les Ordres et les décorations des autres Etats souverains. L'Ordre Souverain Militaire de Malte et l'Ordre Équestre du Saint-Sépulcre, les deux Ordres indépendants de chevalerie, sont acceptés de la même manière car ils sont reconnus par le Saint-Siège, Etat souverain reconnu par la France. L'Ordre de Saint Lazare est, comme ces derniers, une institution ancienne, caritative et spirituelle plutôt qu’une association commémorative conférant des décorations honorifiques ; il n’existe donc aucun conflit avec la République Française.
Le nouvel accord n’est pas une reconnaissance officielle de l’Ordre Hospitalier et Militaire de Saint Lazare de Jérusalem par la République Française. Il comble cependant un vide historique et rétablit une identité internationale claire. En effet, l'Ordre ne dépend pas d’un quelconque Etat souverain, mais de l'Évangile de Jésus Christ pour son droit de conduire ses activités traditionnelles, caritatives et spirituelles. Cette indépendance permet à l'Ordre de Saint Lazare d’exécuter des missions humanitaires à travers le monde, sans limite de nationalité, d'appartenance ethnique ou de religion, et d’apporter une aide médicale, matérielle et spirituelle à toute personne dans le besoin.
Tous les membres de l’Ordre résidant ou en visite en France doivent respecter et observer le Code de la Légion d'honneur. Des détails complets ont été publiés auprès de tous les membres français et sont disponibles pour les visiteurs aux cérémonies publiques ou sur simple demande à la Chancellerie du Grand Prieuré de France.
L’Ordre a, depuis toujours, chéri l'obéissance des bons citoyens comme une valeur noble et un moyen de perfection spirituelle. Les Chevaliers de l’Ordre de Saint Lazare ont toujours obéi à leur protecteur temporel, le Roi de France. Aujourd’hui ils accordent leur allégeance au Chef de la Maison Royale de France, le Comte de Paris, qui sert son pays dans sa continuité historique contemporaine. Par conséquent, tous les membres de l'Ordre de Saint Lazare doivent, en France, observer scrupuleusement cet accord, pour démontrer que l’obéissance et le patriotisme sont des causes nobles qui facilitent le service des plus démunis et des malades.
Pendant de nombreuses années, le Grand Maître, les officiers et les membres devaient utiliser exclusivement l’appellation « Hospitaliers de Saint Lazare » sur le territoire français ; un titre honorable mais peu conforme à l’usage historique et à la dénomination utilisée dans tous les autres pays où l'Ordre est représenté.
Avec effet au 28 septembre 2007 et sous des conditions qui empêchent qu’il ne puisse y avoir aucune confusion possible avec les Ordres dépendant de la Grande Chancellerie de la Légion d'honneur, l’Ordre de Saint Lazare s’appelle dorénavant, en France comme dans le reste du monde « Ordre Militaire et Hospitalier de Saint Lazare de Jérusalem ». Le Prince Charles-Philippe d'Orléans, Duc d'Anjou, pourra utiliser le titre de sa fonction sous sa forme légitime et traditionnelle de Magnus Magister.
Le Gouvernement français reconnaît exclusivement les Ordres et les décorations des autres Etats souverains. L'Ordre Souverain Militaire de Malte et l'Ordre Équestre du Saint-Sépulcre, les deux Ordres indépendants de chevalerie, sont acceptés de la même manière car ils sont reconnus par le Saint-Siège, Etat souverain reconnu par la France. L'Ordre de Saint Lazare est, comme ces derniers, une institution ancienne, caritative et spirituelle plutôt qu’une association commémorative conférant des décorations honorifiques ; il n’existe donc aucun conflit avec la République Française.
Le nouvel accord n’est pas une reconnaissance officielle de l’Ordre Hospitalier et Militaire de Saint Lazare de Jérusalem par la République Française. Il comble cependant un vide historique et rétablit une identité internationale claire. En effet, l'Ordre ne dépend pas d’un quelconque Etat souverain, mais de l'Évangile de Jésus Christ pour son droit de conduire ses activités traditionnelles, caritatives et spirituelles. Cette indépendance permet à l'Ordre de Saint Lazare d’exécuter des missions humanitaires à travers le monde, sans limite de nationalité, d'appartenance ethnique ou de religion, et d’apporter une aide médicale, matérielle et spirituelle à toute personne dans le besoin.
Tous les membres de l’Ordre résidant ou en visite en France doivent respecter et observer le Code de la Légion d'honneur. Des détails complets ont été publiés auprès de tous les membres français et sont disponibles pour les visiteurs aux cérémonies publiques ou sur simple demande à la Chancellerie du Grand Prieuré de France.
L’Ordre a, depuis toujours, chéri l'obéissance des bons citoyens comme une valeur noble et un moyen de perfection spirituelle. Les Chevaliers de l’Ordre de Saint Lazare ont toujours obéi à leur protecteur temporel, le Roi de France. Aujourd’hui ils accordent leur allégeance au Chef de la Maison Royale de France, le Comte de Paris, qui sert son pays dans sa continuité historique contemporaine. Par conséquent, tous les membres de l'Ordre de Saint Lazare doivent, en France, observer scrupuleusement cet accord, pour démontrer que l’obéissance et le patriotisme sont des causes nobles qui facilitent le service des plus démunis et des malades.